C’est une question qui vaut son pesant d’or vu la situation vécue lundi 29 Novembre 2021 au cabinet de Mme Eve Bazaiba Masudi, Vice-premiere ministre, ministre de l’environnement et développement durable.
Eh bien !
Un certain monsieur répondant au nom Kwete Bope Israël a réussi , lundi 29 Novembre 2021 à déjouer la surveillance de toute l’équipe de sécurité et du protocole de la Vice-premiere ministre ministre de l’environnement et développement durable jusqu’à s’introduire dans son bureau.
L’événement s’est déroulé à la Vice-primature de l’environnement et développement durable située sur le boulevard de Palais de la Nation dans la commune de Gombe, I’infortuné se présentant comme un élu National et avocat au barreau du Kasaï-central serait venu solliciter une aide financière auprès du numéro 3 du Gouvernement Sama Lukonde pour sa femme, victime d’un accident de circulation en Afrique du Sud.
À en croire les services spéciaux de la police nationale congolaise, Eve Bazaiba Masudi était en face d’un criminel récidiviste de grand de chemin Mr. Kwete Bope,36 ans, est domicilié au n°18 de l’avenue Kabonga, Quartier 3, dans la commune de Marina.
Il est marié à Mme Christine kipuku et père d’un enfant.
Ici l’occasion de réfléchir sur les vrais mobiles , les vraies motivations à la base de cette forfaiture et pour quelle finalité.
Les yeux des congolais restent ouvertes.
En rappel, Lundi 29 novembre, dans son alerte, Ève Bazaiba avait indiqué s’être sauvée de justesse face à une situation criminelle.
« (…) J’ai reculé et ai appuyé la sonnette pour alerter ma secrétaire et la garde rapprochée. Ils l’ont maîtrisé et l’ont fait sortir. Il est pour le moment en état d’arrestation aux services spéciaux de la police nationale. Le Colonel Mopepe m’a parlé d’un criminel récidiviste ! La plainte a été confirmée et déposée hier à l’instance habiletée . Les investigations se poursuivent pour comprendre le mobile et surtout démanteler le réseau. Je ne crois pas à une action individuelle et isolée », avait fait remarqué Ève Bazaiba.
Et de lancer : « En passant, je n’ai pas connaissance d’un contentieux avec qui que ce soit pour que les concernés en veulent à ma personne ».
Dossier à suivre !