Elle s’appelle affectueusement Landrine Menayame N’simba. Au couloir tout comme dans une certaine agora sociopolitique de Kisangani, on l’appelle déjà Honorable. C’est à travers les œuvres philanthropiques qu’elle pose le plus souvent et son immense engagement dans la vie politique active.
Jeune dynamique et politiquement ambitieuse, formée à la faculté de Droit de l’Université de Kisangani, Mme Menayame est motivée de toujours porter la voix des autres, ceux de sans voix dès son bas âge. Déjà combattante en politique, notamment dans l’UDPS, depuis plus près de quatre ans, elle sait parler et défendre l’intérêt général des communautés. Elle a créé sa plateforme « Les amis de Landrine Menayame » à travers laquelle elle pose des actions d’humanisme. KIS24 a tendu son micro à cette jeune femme à l’ascension sociopolitique remarquable et qui veut porter la responsabilité de représenter le peuple à la législature provinciale de 2023, sur appel de sa base. Interview.
KIS24 : Bonjour Madame. Vous pouvez vous présenter brièvement ?
Landrine : Bonjour Monsieur le journaliste. Merci pour l’intérêt à nous accorder votre micro. Comme vous pouvez l’imaginer, il n’est pas toujours aisée de se présenter soi-même. Alors je vais essayer, je suis Madame Landrine Menayame N’simba. Je suis née à Kisangani. Je suis la fille de Monsieur Célestin MENAYAME et de Madame Espérance YATIKUNDE. Je suis jumelle et cinquième d’une famille de neuf enfants. Licenciée en Droit de l’université de Kisangani. En politique, je suis chargée de communication et media dans la cellule Bercail de notre formation politique UDPS.
KIS24 : Jeune, mais vous êtes très active en politique. Quelles sont vos ambitions ?
Landrine : En tant jeune, j’ai plusieurs ambitions, mais je vais tenter de faire court en disant que comme cadre au niveau de la cellule de l’UDPS, j’ai l’ambition de rendre service aux autres puisque c’est quelque chose que j’ai apprise dès mon bas âge particulièrement auprès de ma mère qui est infirmière de carrière . Voilà pourquoi j’ai fait la faculté de Droit pour être aux services des autres et puis, depuis toujours ma fondation Landrine MENAYAME s’occupe du social, notamment dans l’encadrement des jeunes filles mères. Mon ambition pour l’instant c’est de se battre sur le terrain comme combattante de l’UDPS, pour la réélection de l’actuel président de la République Félix Tshisekedi que nous appelons affectueusement Fatshi Béton pour lui donner une majorité écrasante en 2023 ,pour que l’UDPS ,mon parti puisse cette fois-ci gérer sans les crocs-à-jambe des situationnistes et opportunistes de tout bord. Et puis pour terminer ,je dirais que j’ai aussi l’ambition de postuler comme député provincial dans la province de la Tshopo. Mais en attendant la campagne électorale ,je suis dans le cadre de ma fondation « les amis de landrine MENAYAME » dans la sensibilisation de Tshopolais pour aller se faire enrôler massivement. Voilà pourquoi j’ai sillonné ma base à Mangobo, il y a des images qui parlent d’elles-mêmes. J’ai été avec ma base de Météo où j’habite pour arranger la source parce que vous savez que l’eau potable à Météo pose problème et puis je suis toujours avec les membres de ma cellule de base, la cellule Bercail, pour mener des actions.
KIS24 : Vos débuts en politique ?
Landrine : Je dirai que mes premiers pas dans la politique date de très longtemps, c’est-à-dire j’accompagnais souvent notre oncle dans les réunions des partis politiques notamment de dans les réunions de l’UDPS. J’ai toujours admiré le courge des combattants de l’UDPS. Mon idole c’était le feu docteur Étienne Tshisekedi, d’heureuse mémoire.Tout est devenu clair pour moi, et c’est en 2017 quand j’ai décroché mon diplôme d’État. À partir de l’Université, j’ai décidé de m’engager officiellement avec l’UDPS, mon parti politique. D’abord comme combattante puis aujourd’hui j’ai grimpé les échelons pour assumer des responsabilités politiques. Aussi j’ai été émerveillée par le courage de notre secrétaire général Monsieur Augustin Kabuya, sans oublier, notre président fédéral de Kisangani , Monsieur Emmanuel Kombozi. Je ne saurais oublier mes camarades combattants et combattantes de la cellule de Bercail que je salue en passant.
KIS24 : Avez-vous un profil requis pour être une députée provinciale ? Si oui, lequel ?
Landrine : Un bon profil d’un candidat politique ou d’un politicien, je dirais comme pour paraphraser mon président son excellence Félix-Antoine Tshisekedi c’est d’abord, quelqu’un de l’amour. L’amour de la patrie, l’amour du peuple , l’amour de ses leaders. Un bon leader politique doit travailler pour l’intérêt de son peuple. c’est d’ailleurs le mot fétiche de mon parti politique l’UDPS à savoir le peuple d’abord et enfin un bon leader politique doit être un visionnaire afin d’anticiper certains événements.
Personnellement, j’aime aider mon peuple et surtout porter la voix des sans voix, la femme en général et particulièrement les filles mères qui nourrissent seules leurs enfants. Mon point fort c’est mon dynamisme dans la sensibilisation du peuple Tshopolais à voter massivement en faveur des députés nationaux et provinciaux de l’UDPS afin de donner une majorité écrasante à nôtre leader son excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi pour le développement et le bien-être du peuple Congolais. voilà pourquoi comme une jeune femme, je préfère participer activement dans le développement de mon pays. C’est pourquoi j’ai décidé de me porter candidate à l’élection législative provinciale de 2023.
KIS24 : Vous avez tant d’ambitions. Qui vous inspire concrètement dans la politique active en RDC ?
Landrine : Mon Mentor c’est Madame Christine Mansoni Masaka, présidente de la ligue des femmes de l’UDPS. J’apprécie son courage et son dynamisme pour fédérer les femmes de notre cher parti UDPS autour de la vision du peuple d’abord prôné depuis le leader charismatique :le feu Étienne TSHISEKEDI wa Mulumba d’heureuse mémoire ainsi que la sensibilisation des femmes de l’UDPS sur leur responsabilité face aux enjeux de l’heure.
KIS24 : Un mot de la fin ?
Landrine : Un seul mot à ma base de l’UDPS ,cette fois ci ou jamais ,un seul slogan : zéro voix pour les députés nationaux et provinciaux qui n’ont bien fait le travail pour le bien de la Tshopo et une seule idéologie avec Fatshi Béton : espoir eza ya sûr. Et pour finir je confirme que je vais postuler à la députation provinciale.Je remercie notre leader son excellence Monsieur le Président de la République Félix-Antoine Tshisekedi, notre secrétaire général, machine politique UDPS, Monsieur Augustin KABUYA sans oublier notre président provincial et tous les cadres de l’UDPS et enfin grand merci à tous les cadres, combattantes et combattants de la cellule Bercail dans la ville de Kisangani.
Un commentaire
Waouh belle intervention jeune dynamique