L’annonce n’est pas encore officielle. Toutefois, à partir de ce Jeudi 1er septembre, l’Alliance Française de Kisangani suspend toutes ces activités officielles, jusqu’à une durée qui pourra atteindre Janvier 2023.
À en croire une source sûre, Kisangani va devoir accueillir l’Institut Français, comme dans d’autres villes de la RDC. Ce qui est aussi la raison cette cessation des activités, car, dit notre source, les deux institutions ne peuvent en aucun œuvrer dans une même entité. Néanmoins, les objectifs restent les mêmes : faire la promotion de la culture franco-congolaise et la langue française.
Ce bifurcation présente des avantages énormes, par rapport à l’alliance française, notamment sur le plan financier. D’après les explications fournies à www.kis24.info, le financement de l’institut français a toujours été supérieur, ce qui permettra à la jeunesse et aux artistes de bénéficier davantage dans la réalisation de leurs projets.
S’agissant des offices, par exemple location de la grande salle, tout sera suspendu. Certains agents passeront par un congé. En attendant l’ouverture officielle de l’institut français.
5 commentaires
Mais s’ils poursuivent les mêmes objectifs pourquoi ne pas laisser les activités continuer en attendant l’ouverture de ce fameux institut français. Beaucoup activités vers la fin de l’année auront certainement de difficultés pour leur promotion.
Toutes les deux institutions ont presque même objectif.
Alors, il sera préférable qu’ils s’implantent toutes et œuvrent.
Si leur loi ne permet pas, alors qu’elles procèdent aux investitures sans pour autant stopper les activités.
Germain NGANDU Poète Slameur Messager de la Paix.
Pourquoi pas laisser seulement fonctionner l’alliance et arriver au moment précis il pouvait juste subir une modification parceque l’institut ou l’alliance exercent toutes les mêmes objectifs.
C’est une bonne chose pour la ville.. merci pour l’information cher David.
Je crois comme toutes les deux poursuit même objectifs, t’en mieux de laisser les activités continue en attendant l’ouverture de l’Institut