Environ trente minutes sur scène, les artistes Josh Lutho et Paul Hervé ont présenté la pièce théâtrale « Braise 2 », de la compagnie Chic-Choc de Kisangani, ce samedi 27 août 2022, à l’ouverture du Festival Ngoma, douzième édition.
La « Braise 2 », un texte humoristique qui exhibe le vécu cauchemardesque de certaines femmes, sous le toit conjugal. Une discussion dont l’émancipation de la femme est remise en question par l’homme. Les deux acteurs se disputent l’autorité sur le corps de la femme.
« Il s’agit de la violence », essaie de convaincre l’actrice Josh Lutho. D’après son rôle, des femmes répondent au besoin sexuel des partenaires, aussi par peur de perdre le foyer. Cependant, l’acteur Paul Hervé reste basé sur la coutume africaine, dans laquelle la violence sexuelle n’existe pas en cas de mariage officiel.
« comme la braise, la femme réclame ses droits de façon à s’éteindre que lorsqu’elle sera satisfaite. Selon la tradition, la femme vit pour faire des enfants. Et pourtant, la femme peut aussi avancer comme l’homme », déclare l’artiste Hervé à www.kis24.info
La mondialisation et le couple en Afrique
Les autres continents semblent être le repère dans la mondialisation, chez l’Africain. La liberté de décider sans contraintes sur l’appartenance érotique. Ainsi, certains peuvent adhérer à la communauté LGBT +.
Dans la Braise 2, les deux acteurs préconisent le dialogue, comme panoplie, pour maintenir équilibré le foyer. Selon leur spectacle, les partenaires, dans un couple, peuvent éprouver un sentiment contraire, « il ne s’agit pas d’un refus », dit Josh Lutho sur scène.
« il faut plutôt dialoguer, dans le couple. C’est la meilleure façon de donner de la chance au genre féminin. Comme on a accepté la parité, écoutons la femme et voyons ce qu’elle peut faire dans la société », a conclu Paul Hervé.
Le festival Ngoma, plus grande messe culturelle à Kisangani, se poursuit ce dimanche. Des artistes en provenance de Goma et ailleurs séjournent à Kisangani pour ce rendez-vous.
Un commentaire
De nos jours, même pendant le mariage
( juridiquement parlant),sur le plan international il y a violence si, l’homme forçait la femme de faire l’amour disons l’absence de consentement chez la femme !
De ce fait, les femmes ne doivent pas copier l’extérieur( occident) plutôt que de faire avec pas par peur de perdre le mariage plutôt que par amour de respecter la coutume africaine qui n’est tout autre que la première source d Droit !