Alors que le processus d’indemnisation individuelle et collective des victimes des activités illicites de l’Ouganda en RDC évolue sans faille et à pas de géant, des mains noires rebondissent et tentent de manipuler et détourner l’attention des victimes bien identifiées et enregistrées à ce jour par le FRIVAO, installé à Kisangani.
Tenez. Méfiez-vous en ! Une mise en garde sévère vient d’être lancée contre quiconque qui voudrait troubler l’ordre public aux noms des victimes de guerre. Selon l’esprit d’un communiqué parvenu lundi 25 mars 2024 à KIS24, le comité Directeur de Fonds de Solidarité des Victimes des guerres de six jours, une association œuvrant à Kisangani, tire la sonnette et sonne la fin de récréation.
« Tout contrevenant au présent communiqué subira la rigueur de la loi », avise cette association des victimes, tout en mentionnant haut et fort que le Droit se réclame par le Droit du temps.
La même association appelle ses membres et toute l’opinion publique Boyomaise de rester toujours patients aux processus faits par l’établissement de l’État, le FRIVAO.
Selon les informations à notre possession, c’est depuis près d’une semaine que les mains noires veulent créer des troubles au sein de FRIVAO. Et pour y parvenir, des identifications des victimes se font en cachette et voire même dans des bureaux parallèles, loin des installations officielles de FRIVAO.
Dans une communication hebdomadaire tenue le week-end passé, les communicateurs de FRIVAO ont rappelé que tout enregistrement en dehors de ses installations ne les concernait pas.
Un commentaire
Hum