Depuis plus près d’un an, un tohu-bohu inédit règne avec complaisance dans le secteur de l’environnement en territoire d’Ubundu, dans la province de la Tshopo.
D’après des sources recoupées par KIS24, l’ancien superviseur territorial à l’environnement à Ubundu est à couteau tiré avec celui officiellement entrant, implanté et reconnu par la loi depuis le mois de mars 2022. L’ingénieur Djey Amisi a été commissionné par le secrétaire général depuis Kinshasa en qualité de superviseur territorial mais n’a jamais accédé à son poste. Depuis lors, il dénonce un réseau monté à souhait pour bloquer son installation.
« Depuis Mars de l’année passée nous étions commissionné par le secrétaire général depuis kin en qualité de superviseur territoriale à l’environnement Ubundu, notifié à la province par le gouverneur sortant ABIBU, depuis lors tout les collègues avec qui nous étions commissionné ont déjà rejoint leurs postes de travail donc le 6 territoire et 6 commune », dénonce-t-il, brandissant des documents officiels y afférents.

Et d’ajouter : « la raison de mon retard est que celui qui fait l’intérim c’est un jeune frère à une grande autorité dans la Tshopo qui donne les instructions au coordonnateur de bloquer mon dossier à faveur de son petit frère qui n’a même pas un numéro matricule de l’environnement voir une notification de la haute hiérarchie ».
Pour Djey Amisi, rien ne justifie donc cette cabale concoctée contre personne. Il a appelle a son installation vaille que vaille.
« Malgré l’instruction du gouverneur et du ministère provincial de l’environnement, de bien vouloir me remettre dans mon droit, le Coordon retarde la lettre de ma mise en service sur instruction d’une autorité de la place qui n’a même pas qualité dans l’administration , conformément à la note circulaire 009 du VPM de la fonction publique, dans sont point 17. Je dois être rétabli dans mes droits », a-t-il soutenu sur KIS24.
Notons que tous nos efforts pour entrer en contact avec le superviseur territorial à l’environnement sur place à Ubundu afin d’avoir sa version des faits n’ont pas encore payé. Nous y reviendrons donc !