Il s’agit de Monsieur Martin MOLESE, âgé de 40 ans révolus, qui a trouvé la mort après avoir été copieusement tabassé par certains éléments de la police. Les faits macabres se sont déroulés le mercredi 12 octobre 2022 dernier, au village Kuulu, situé à 130km en aval du fleuve Congo, au groupement Moliele, chefferie des Yaliwasa, dans le territoire de Basoko, en Province de la Tshopo.
Des informations bien fouinées rapportées à Kis24.info révèlent qu’un agent de la PNC avait pris de force une fille de 14 ans pour concubinage, et voire même la prendre comme sa femme.
C’est alors que l’illustre disparu réclamait, en tant que père de famille, sa fille nommée Élysée MOLESE, que les éléments de la police sur ordre de leur commandant Jules MAUNGU, pour ne pas le citer, ont grièvement torturé le père de la victime jusqu’à la mort.
Et comme celà ne suffisait pas, comme pour échapper de la situation au village Kuulu, Mr Pierre, l’auteur des faits aurait donné des aphrodisiaques comme diazepas et tramadols à la fille qui, jusqu’à ces jours ne se retrouve plus, témoignent quelques habitants de Kuulu, contactés par Kis24.info
Dans la même foulée, le président de la société civile forces vives du Territoire de Basoko confirme les faits et dit avoir le dossier à mains.
Simon Malongola hausse ainsi la voix en demandant aux autorités judiciaires de diligenter les enquêtes, en suite mettre la main sur les auteurs de ces actes.
Actuellement, la fille demeure isolée et stressée par le décès de son père, difficile de continuer les études voir même se soigner, a-t-il ajouté.
Bien plus, les habitants de cette localité sont en colère et se disent très préoccupés. Ils appellent les autorités de trouver une issue favorable avant que le pire n’arrivent.
À suivre !
Augustin TSHEZA
Un commentaire
Je voudrais juste donner une suggestion, je ne sais pas si ce vraiment correcte, mais je l’a donne quand même !
Ce concernant la photo d’illustration, il ne serait pas mieux de commencer à rogner la photo pour masquer la signature du téléphone, faut peut-être signer avec le nom du photographe et non de l’appareil