C’est un sentiment d’extase et de joie immense qui a vécu dans l’enceinte de la Fondation Guy Rami Lonia, ce jeudi 15 août 2024, à Kisangani, dans la Province de la Tshopo. Des jeunes entrepreneurs et des mamans vendeuses avec de faibles revenus ont vu leurs caisses propulsées par cette structure de référence dans la lutte contre la pauvreté.
« Je suis vendeur des unités réseaux à la Commune Tshopo. Par jour, je revends les unités de 10 dollars. Mais, aujourd’hui, grâce à la Fondation Guy Rami Lonia, je serai à même de vendre les unités de plus de 50 dollars, ce qui va booster mon capital », s’est réjoui un bénéficiaire.
En sourire intense aux lèvres, une maman vendeuse n’a pas aussi caché sa gratitude à l’endroit du Fondateur Guy Rami Lonia, jeune et acteur politique engagé pour le bien-être des ses concitoyens de la Tshopo.
« Que Dieu bénisse cet enfant. J’ai reçu une enveloppe consistante capable de renforcer mon économie. Désormais, les choses ne seront plus comme avant. Je vais avancer vers un grand capital », a-t-elle confié.
Bien avant, Me Éric Lososo, Vice-coordonnateur de cette fondation, a outillé ces derniers sur l’éducation financière. Dans son speech, il a prôné haut et fort la culture de l’épargne grâce à l’entrepreneuriat. À l’en croire, avec cette enveloppe remise avec faste aux participants, les activités génératrices de revenus augmentent.
Avec ces subventions séquentielles, dans le cadre de son projet ELIKYA phase 2, la Fondation Guy Rami Lonia se place désormais comme une référence dans la lutte contre la faim , la pauvreté et le banditisme urbain. Le but est aussi de redonner sourire aux démunis mais aussi de renforcer les revenus des mamans vendeuses.
Cette nouvelle vague de jeunes et femmes bénéficiaires de ce projet intervient une semaine après qu’une autre ait été servie. Chaque semaine, une vingtaine de jeunes et mamans œuvrant notamment avec de faibles revenus reçoivent des enveloppes de soutien. Avec son slogan : « Un don est une vie », la Fondation Guy Rami Lonia poursuit son chemin, celui retracé sous la vision « Pesa Moninga Sourire ».