Dans un contexte où le fléau du banditisme juvénile, connu sous le nom de phénomène Évapo (vol à l’arraché), qui ternit l’image de la commune Tshopo, une lueur d’espoir émerge grâce à l’engagement résolu de Marianne Batamane, la Bourgmestre de cette municipalité. Elle incarne une volonté inébranlable de réformer et de revitaliser sa commune, en éradiquant les anti-valeurs qui minent le tissu social.
Actuellement, sous sa dynamique, plusieurs initiatives des formations professionnelle et artisanale voient le jour, visant à doter les habitants de compétences essentielles. Les thématiques abordées sont variées et incluent : l’élevage, la pâtisserie, l’agriculture, ainsi que des créations artisanales, comme la fabrication de sacs.
« Depuis l’année dernière, j’ai établi une série de partenariats avec l’Institut national de préparation professionnelle (I.N.P.P) pour offrir des formations aux jeunes, aux mamans, papas et aux jeunes, et plus largement, à tous les habitants de la Tshopo », a déclaré Marianne Batamane avec conviction.
Ces formations ne se limiteront pas à des compétences théoriques. Elles s’inscrivent dans une démarche pragmatique visant à soutenir les actions gouvernementales, comme en témoigne l’initiative d’auto-école pour les jeunes, alignée sur le slogan du gouverneur de province, « Tshopo mosala ».
De même, la formation agricole vise à accompagner l’action du Gouverneur, lors des journées « samedi bilanga » dédiées au développement rural agricole.
Cette démarche s’inscrit dans une vision plus large, celle de la lutte contre le chômage et de l’émancipation économique des populations.
Marianne Batamane, surnommée la « dame de fer », ne se contente pas d’initier des formations. Elle offre également des concessions de terre au point kilométrique 10, réservées aux finalistes des formations agricoles, permettant ainsi aux plus méritants d’exploiter leurs compétences dans un cadre concret.
Dans un élan de mobilisation, la Bourgmestre de la Tshopo annonce un événement marquant : « Le mardi 1er octobre, j’invite la population de la commune Tshopo à se rassembler pour une double cérémonie. Nous donnerons le coup d’envoi d’une série de formations et célébrerons la vente de choux cultivés par les paysans d’Opala. »
Cette initiative illustre non seulement la valorisation des productions locales, mais également l’engagement de Marianne Batamane à mettre en avant le savoir-faire et la résilience de sa communauté.
Ainsi, la commune Tshopo, sous l’impulsion de sa bourgmestre, se transforme progressivement en un modèle de formation et d’autonomisation, et s’affirme comme un véritable laboratoire d’initiatives pour un avenir radieux.
La volonté de Marianne Batamane de placer le « peuple d’abord » au cœur de son action résonne comme un appel à l’unité et à la détermination pour construire un avenir meilleur de sa commune.