« Écouter la population, lui apporter de l’aide »,
c’est la finalité de la visite de la Grande Famille Tshopo, ce lundi 13 février, à Mandombe, un bidonville situé à plus ou moins 11 kilomètres du centre-ville de Kisangani.
Sur place, la Grande Famille Tshopo (GFT) a échangé avec les habitants pendant plus de quarante minutes. Des problèmes sociaux et vitaux passés au crible. Des inquiétudes présentées. Des esprits apaisés. Il s’agit d’une rencontre qui s’est penchée sur le développement de la cité de Mandombe, avec comme acteur principal : la population locale.
« Étant une famille, on ne va pas se limiter à Kisangani, on a l’obligation d’aller à l’extérieur. On a reçu leur cahier des charges. Ils ont besoin des machettes, des houes, des semences… Pour ce faire, nous avons installé notre division ici. Une équipe va représenter le village Mandombe auprès de la fondation », des propos de Tite Tongo, président de la Grande Famille Tshopo.
Liesse visible sur le visage, tout Mandombe entre en harmonie avec la GFT. À en croire leurs réactions, une lueur d’espoir se dessine alors que la population vit dans la misère. Des mamans de ce village bénéficieront d’une formation en entrepreneuriat afin d’atténuer la misère.
Par ailleurs, Tite Tongo a profité de cette occasion pour parler de l’enrôlement électoral. Il a appelé la population de ce village à se présenter dans les centres d’identification des électeurs afin de permettre à la province de gagner un poids politique.
Pour rappel, les communes Kabondo et Lubunga sont parmi les récents bénéficiaires des activités de la Grande Famille Tshopo. À Kabondo, par exemple, les mamans évoluant dans le petit commerce ont reçu un fond pour relancer leurs activités. Ces œuvres philanthropiques vont se poursuivent.