À la prison centrale de Kisangani, les conditions de détenues sont encore dégradables et monstrueuses. Construite pour une capacité de plus ou moins 1500 prisonniers, elle régorgerait plus, ce qui entraîne une promiscuité dangereuse.
À l’espace d’une année soit de 2020 à cette année courante 2021, 29 cas de décès ont été enregistrés dans cette formation pénitentiaire. Une situation à déplorer car la moyenne de décès est de 2 morts par mois.
Ce samedi 20 Mars 2021, la presse s’est entretenu avec le chef de division de la justice Gérard BOLEMA pour tirer en clair cette situation. Celui-ci n’a pas eu une bouche cousue. Les causes sont, selon lui, d’ordre sanitaire.
Et d’insister :
Dans cette même option, le chef de division de la justice dans la province de la Tshopo lance un cours d’alarme et de détresse aux autorités compétentes de venir en aide ces derniers qui vivent bestialement dans la maison pénitentiaire de Kisangani.
D’après Gérard BOLEMA KOMBOZI, la prison à un dispensaire, où il y a « un personnel qualifié, un médecin affecté, un infirmier titulaire, le corps autre soignant. Ils sont là, disponibles, mais les produits pharmaceutiques font défaut.» a-t-il rapporté.
Pour sa part, la ministre provinciale du genre, Albertine Likoke, a promis de transmettre ces doléances aux autorités compétentes pour des solutions idoines, informe la radio Okapi.
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