Sans gants, Futur MENGANDELO considère que le Genocost serait plutôt du Genofarce si rien de concret ne doit être fait pour empêcher la guerre.
Kisangani, Beni, Bunia… , la partie Est de la RDC a subi des troubles de guerre de tout genre. Il est important non seulement de commémorer les morts en rendant les hommages mais d’agir pour que ceux vivant ne puissent mourir par les mêmes conditions.
« Genocost ou Genofarce ? Promesse ou action qui détermine, il serait logique de ne pas seulement comprendre de milliers de morts et continuer à compter sans agir pour arrêter », pense Futur MENGANDELO.
Dans sa réflexion, il va trop loin considérant qu’à kisangani, ceux qui ont vécu des atrocités sont de mort-vivants qu’il faut ressusciter par un programme d’accompagnement psychosocial.
La commémoration de cet événement qui a fait mobiliser toute la République vers la ville de Kisangani a permis de vivre les émotions exprimées par les témoignages.
Les victimes de guerres d’un jour, trois jours, six jours… seraient peut-être traumatisées en voyant que jusqu’à présent elles ne sont pas indemnisées et en l’absence d’un programme de prise en charge psycho-social , il y a eu de ne pas faire oublier la guerre.
« En plus de FRIVAO, il y a nécessité de la création d’un programme spécial de santé mentale pour les victimes de guerre », suggère M. Futur, ce jeune leader de Kisangani.
Pour lui, le ton de la jeunesse avec une pensée claire peut orienter la nation vers des actions significatives et engagées pour un peuple rempli d’espoir.