Nommé le 12 août 2024 en tant que coordonnateur intérimaire du Fonds de Réparation et d’Indemnisation des victimes des activités Illicites de l’Ouganda en RDC (FRIVAO), Chançard Bolukola Osony a su apporter une nouvelle dynamique à cet établissement public. En seulement cinq mois de gestion, son comité a réussi à indemniser 6560 victimes, marquant une avancée majeure dans un processus qui, auparavant, était ralenti par de nombreuses difficultés administratives et organisationnelles.
Le bilan à mi-parcours du comité dirigé par Chançard Bolukola témoigne d’une approche fondée sur la rigueur et la transparence. Conscient des attentes des victimes et des engagements pris par les autorités, le jeune coordonnateur a mis en place une gestion efficace qui permet une indemnisation rapide et équitable. Cette performance remarquable est le résultat d’une stratégie bien pensée et de la volonté d’accélérer le processus au bénéfice des victimes.
L’objectif du comité sous la direction de Chançard Bolukola est clair : « indemniser de manière juste et sans discrimination toutes les victimes concernées, conformément à la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo ».

Cet engagement est également soutenu par les directives du ministre de la Justice, Constant Mutamba Tungunga, qui veille à ce que le FRIVAO respecte scrupuleusement les principes d’équité et d’inclusion.La rapidité observée dans l’indemnisation des victimes s’explique par une réorganisation du processus, mise en place par le comité Chançard Bolukola. Cette approche vise non seulement à accélérer le paiement des réparations, mais aussi à assurer un suivi rigoureux pour garantir que chaque victime perçoive son dû sans entrave administrative.
Grâce à cette nouvelle méthode, le FRIVAO est en train de rétablir la confiance et de démontrer que des résultats concrets sont possibles lorsque la gestion est rigoureuse et axée sur l’efficacité.Avec un tel élan, le comité de Chançard Bolukola Osony semble bien parti pour atteindre son objectif global d’indemnisation des victimes de manière exhaustive. La suite du processus reste sous haute surveillance, avec l’espoir que cette dynamique se maintienne et s’accélère davantage dans les mois à venir.
Ce bilan à mi-parcours est donc un signal fort qui montre qu’avec une gestion compétente et engagée, il est possible de redonner espoir à des milliers de victimes en attente de justice et de réparation.