L’année académique 2023-2024 débute ce lundi 8 janvier à l’Institut Supérieur et Technique Médicale de Kisangani. Une ponctualité qui va permettre « l’assurance qualité » des enseignements dans cette institution.
Ce dimanche 7 janvier 2024 a eu lieu le dernier concours d’admission. À l’ISTM Kisangani, rien ne va empêcher le début de l’année 2023-2024. En celà, l’institut veut éviter une année raccourcie. Les horaires sont déjà disponibles, a indiqué le Secrétaire Général Académique, Professeur Grison-Trésor Kakumbi.
Nous voulons commencer correctement, tôt et aller progressivement, de sorte que les enfants étudient normalement et non étudier par formalité ou dans le sens de vouloir finir l’année, » a-t-il laissé entendre.
Suite au retard du début des années académiques, à Kisangani, certains établissements enseignent pour « sauver l’année académique. » Celà n’entre pas dans le plan de l’ISTM Kisangani qui met l’accent sur l’assurance qualité et la méritocratie. Le Professeur Kakumbi a convié les étudiants à consulter les horaires et s’engager déjà.
L’ISTM est déterminée à enseigner réellement, à faire passer les travaux pratiques conformément au programme national des enseignements, mais surtout permettre à ce que le stage, les projets tutoriels, soient présentés et défendus dans des conditions réunies. »
Alors la technologie s’impose partout, l’ISTM Kisangani prend à bras le corps les innovations. « Ce sont les techniciens qui accompagnent les médecins pour que nous gardions la vie. L’accent est mis aussi sur les innovations en faisant recours aux NTIC pour que la formation rencontre les attentes de notre temps et du futur dans la technique médicale. »
Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire (ESU) Muhindo Nzangi a procédé au lancement officiel de l’année académique 2023-2024, le lundi 13 novembre, aux installations de l’Institut Supérieur du Commerce. Le n°1 de l’ESU l’a inscrit dans la logique des consolidations et de la continuité des réformes ainsi que du renouvellement de la prise de conscience face à l’intérêt général.