Dans une tribune percutante publiée sur les réseaux sociaux, Christian Bolanga, militant du mouvement citoyen FILIMBI, soulève la question cruciale de la réduction des trains de vie des institutions de la République démocratique du Congo. Sa voix, empreinte d’intelligence et de ferveur, résonne comme un cri de ralliement pour tous les Congolais en quête de justice et de transparence.
Valorisant un partage équitable des richesses du pays, ce jeune fervent activiste pro-démocrate rappelle avec véhémence aux autorités que chaque Congolais a droit à une répartition juste et équitable de la richesse nationale, et non seulement les institutions publiques. Dans un pays où l’abondance des richesses coexiste avec la persistance de la pauvreté, la voix du peuple se fait entendre à travers les paroles de Christian Bolanga.
Chers compatriotes, la République démocratique du Congo nous appartient à tous, sans distinction de classe sociale », proclame-t-il avec force. Ces mots simples mais puissants rappellent l’essence même de la démocratie. « Nous avons le droit de participer pleinement aux décisions prises par nos autorités, et il est de leur devoir de nous informer à ce sujet », ajoute-t-il, soulignant ainsi le droit inaliénable de chaque citoyen à participer activement aux décisions qui façonnent l’avenir de la nation.
Pourtant, une triste réalité persiste dans ce pays aux ressources abondantes : une minorité s’accapare indûment des richesses au détriment de la majorité plongée dans la précarité. Christian Bolanga dénonce avec véhémence cette injustice flagrante, cette spoliation économique qui appauvrit le peuple et entrave son développement.
« Dans un pays potentiellement riche mais avec une population majoritairement pauvre, il est inacceptable de voir un groupe d’individus s’enrichir frauduleusement sans se soucier de l’intérêt général. Environ 70% du budget national est alloué aux institutions, notamment la présidence, le parlement et le gouvernement, tandis que seulement 30% revient au peuple, en violation de l’article 58 de la constitution », dénonce-t-il.
Le mouvement citoyen FILIMBI se dresse tel un rempart contre cette corruption insidieuse, exigeant la reddition des comptes, la transparence des décisions politiques et la justice pour tous. Ses actions courageuses et déterminées incarnent l’espoir d’un changement véritable, d’une société plus juste et équitable pour tous les Congolais.
En ces temps de tumulte et d’incertitude, les paroles de Christian Bolanga résonnent comme un appel à l’action, à la solidarité et à la résistance contre l’oppression. Elles rappellent à chacun de nous notre devoir citoyen, notre responsabilité collective de défendre les valeurs de démocratie, d’égalité et de dignité humaine. « Il est temps d’exiger de Félix Tshisekedi, qu’il travaille pour le peuple congolais afin de répondre efficacement à ses besoins primaires pour une stabilité équitable. »
Ainsi, que résonnent dans tout le pays les mots percutants et intelligents de Christian Bolanga, symboles d’une lutte juste et nécessaire pour un avenir meilleur pour tous les fils et filles de la République démocratique du Congo.